Grands navires : Goélette à trois-mâts – Pièce en argent fin – Tirage : 15 000 (2025)

La coloration redonne vie à cette goélette de l’âge d’or des voiliers canadiens

Merveille d’ingénierie nautique, un grand navire offre toujours un spectacle impressionnant, et la goélette à trois-mâts figurant sur cette pièce en argent pur à 99,99 % rehaussée d’une coloration sélective en est un parfait exemple. Comme l’illustre le motif au revers de la pièce, ce type de goélettes ne comporte pas de voiles carrées, mais bien de voiles auriques, grâce auxquelles elle gagne plus efficacement au vent. Entre 1880 et 1920, des centaines de ces goélettes ont été mises à l’eau dans les chantiers navals du Canada atlantique. Offrant une grande capacité de charge et ne nécessitant qu’un équipage réduit, elles ont ainsi supplanté leurs cousines à gréement carré à titre de championnes du commerce côtier à la fin du 19^e siècle, s’imposant alors comme équivalent à propulsion éolienne des camions de marchandises d’aujourd’hui.

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Caractéristiques particulières

• Retour vers l’âge d’or des voiliers canadiens. Célébrez l’héritage naval du Canada! Grand navire ayant fait la renommée internationale du Canada durant l’âge d’or des voiliers, la goélette à trois-mâts prend vie sur cette pièce colorée en argent pur à 99,99 %.
• Souci du détail époustouflant. Des détails du gréement jusqu’au loch à hélice remorqué à l’arrière, cette représentation historiquement fidèle rend toute l’élégance de la goélette à trois-mâts, un navire de charge qu’on utilisait couramment pour le commerce côtier à la fin du 19^esiècle et au début du 20^e siècle.
• Une coloration sélective. Sur le motif du revers de la pièce, l’eau, le navire et sa cargaison, de même que le pavillon nautique, sont rehaussés d’une touche de couleur.
• Un de nos Grands navires, maintenant en couleur. Rehaussée d’une coloration sélective, cette pièce est une version en argent fin de la quatrième pièce de notre série annuelle de pièces en or pur à 99,99 % Grands navires. Sa coloration sélective en fait une pièce complémentaire à la version en or – et grâce à son tirage plus élevé, encore plus de numismates pourront ajouter cette parcelle de l’histoire navale du Canada à leur collection.
• Un article de collection au tirage limité. Le tirage mondial est limité à 15 000 exemplaires.
• Un certificat numéroté. La Monnaie royale canadienne certifie l’authenticité de toutes ses pièces de collection.
• Aucune TPS ni TVH.

MOTIF

Le motif au revers, œuvre de l’artiste maritime canadien John M. Horton, est rehaussé d’une coloration sélective et présente une goélette à trois-mâts toutes voiles dehors, vue de la hanche de tribord et navigant au petit largue dans un bon vent, son côté tribord se soulevant alors qu’elle gîte sur bâbord. Une cargaison complète de bois d’œuvre est arrimée sur le pont de ce navire de charge côtier, tandis qu’un loch à hélice remorqué à l’arrière mesure la vitesse et la distance parcourue. L’avers est à l’effigie de Sa Majesté le roi Charles III, selon l’artiste canadien Steven Rosati.

LE SAVIEZ-VOUS?

Voyez-vous le drapeau rouge au revers de la pièce? Il s’agit du Red Ensign, le pavillon nautique arboré par les navires canadiens à partir des années 1890, qui servait aussi de drapeau non officiel du Canada depuis la Confédération. Combinant l’Union Jack et des variations des armoiries du Canada, le Red Ensign canadien a subi plusieurs modifications, mais n’a jamais été officiellement adopté comme drapeau national du Canada. Il a été remplacé par l’unifolié en 1965.

EMBALLAGE

La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque noir orné du logo de la Monnaie royale canadienne, lequel est assorti d’une boîte protectrice noire.

DANS LES COULISSES

« Pour la goélette à trois-mâts, j’ai choisi la vue de la hanche de tribord pour montrer toute la puissance du vaisseau qui traverse la mer agitée en faisant force de voiles. Les voiliers de ce type étaient de véritables navires de travail, transportant le bois d’œuvre d’un port à l’autre le long des côtes ou de part et d’autre de l’océan Atlantique. Lors de longs trajets, ils remorquaient un loch à hélice pour mesurer la vitesse et la distance parcourue, ce qui permettait d’établir un point estimé au besoin. J’ai toujours aimé peindre les bateaux utilitaires de différentes époques; la goélette à trois-mâts nous offre un bel exemple du fonctionnement du commerce mondial d’autrefois. » – John Horton, artiste